Le représentant du Burkina Faso, le ministre d’Etat, Bassolma Bazié, à la 78ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies a, au nom du président de la transition, Ibrahim TRAORE, livré un discours de dénonciation et de condamnations les manigances, les relations impérialistes, l’ingérence et la diplomatie hypocrite des puissances étrangères en Afrique.
Il n’a pas hésité une seconde à cracher les vérités de l’Afrique et du Burkina en particulier, aux yeux du monde, surtout contre la France, l’ONU et la CEDEAO. Ce discours réaliste et très touchant a retenu l’attention de bon nombre de personnes à travers le monde. Il a été salué par les africains conscients et éveillés, engagés pour une nouvelle Afrique.
Les burkinabè en particulier ont apprécié ce discours qui leur a rappelé disent-ils, leur héros, patriote et père de la révolution, Thomas Sankara. Pour ceux qui ont pu s’exprimer au micro de la télévision RTB, il s’agit d’un discours exceptionnel qui exprime la fierté du peuple et marque un pas vers la souveraineté du Burkina Faso.
Le ministre burkinabè en charge de la fonction publique a dans son discours, traduit les pensée, les indignations, les crispations et la détermination des africains et du peuple burkinabè principalement. Les populations burkinabè souhaitent vivement que la transition soit soutenue et encouragée puisse qu’elle fait la différence et répond efficacement à leurs aspirations.
La révolution africaine est en marche et nécessite de la solidarité, de l’unité, de la complicité accrue entre les Etats et les peuples africains.
Assana Mohamed