Depuis l’arrivée du Dr Kossi Gbégnon Lamadokou au ministère de la Culture et du Tourisme, le secteur du tourisme au Togo connaît une révolution significative, en terme d’attractivité et d’offres touristiques. En inscrivant ce secteur parmi les priorités du gouvernement, des mesures ont été prises, pour redynamiser le tourisme au Togo.
Après la pandémie au covid-19, le ministre en charge du secteur touristique togolais, Dr Kossi Gbégnon Lamadokou s’est engagé à donner au secteur, ses couleurs, lui permettant ainsi de contribuer efficacement à la croissance de l’économie du Pays.
Des sites touristiques comme le site du patrimoine culturel de Koutammakou et le monument des martyrs à Pya Hodo, le mausolée de Sarakawa ont été redorés ; des complexes hôteliers relevant de l’administration publique sur toute l’étendue du territoire togolais ont été aussi rénovés, et d’autres projets sont en cours, afin d’attirer plus de visiteurs dans le pays.
Une plateforme digitale dédiée au secteur du tourisme a été également mise en place cette année 2023 en vue de la promotion et de la valorisation du potentiel culturel et touristique togolais. Aujourd’hui, le ministre en charge du secteur peut se réjouir des résultats de ses efforts, appuyés par le chef de l’Etat Faure Essozimna GNASSINGBE.
A l’occasion de la célébration en septembre dernier de la 44ème journée internationale du Tourisme, le ministre Dr Kossi G. Lamadokou a dressé le bilan des visites touristiques des années précédentes. Selon lui, le nombre des touristes a significativement augmenté ces dernières années.
Selon les chiffres officiels, le pays avait accueilli en 2022, près d’un million de visiteurs, un bilan en hausse par rapport à l’année antérieure, ou le pays avait enregistré 983 969 visiteurs pour une recette de 25 milliards FCFA. En 2020, un peu plus de 480.000 touristes ont été recensés au Togo, générant des retombées financières évaluées à 19 milliards FCFA.
Des efforts se poursuivent pour faire du secteur touristique togolais, un véritable levier de développement économique et de l’emploi des Jeunes.
Nayo Koulim